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Glossaire

A

Accumulation : La phase du parcours financier d’un investisseur (habituellement ses années de travail), où il accumule des actifs pour se préparer à la retraite et où les objectifs de placement sont axés sur la maximisation des rendements à long terme.

Actif net : Ce chiffre est présenté en millions de dollars et représente l’actif total du fonds, déduction faite des frais.

Alpha : L’alpha mesure l’efficacité d’un gestionnaire ou d’une stratégie d’un OPC. Il indique la différence entre le rendement réel d’un fonds et son rendement prévu, compte tenu de son niveau de risque mesuré par le bêta.

L’alpha évalue la qualité de la sélection des actions par le gestionnaire. Il soustrait le rendement prévu de son bêta du rendement du fonds pour découvrir tout excédent. Un alpha positif indique que le fonds a affiché un rendement supérieur à celui indiqué par son bêta. En revanche, un alpha négatif signifie que le fonds a enregistré un rendement inférieur aux attentes, étant donné son bêta. L’alpha est calculé après déduction des frais, ce qui signifie que le rendement du fonds doit être supérieur à la somme de ses frais de gestion et de son coefficient bêta pour obtenir un alpha positif.

B

Bêta : Le bêta d’un fonds est une mesure de sa sensibilité aux fluctuations du marché.

Le bêta du marché est de 1,00. Morningstar calcule le coefficient bêta en comparant le rendement excédentaire d’un fonds par rapport aux bons du Trésor au rendement excédentaire du marché par rapport aux bons du Trésor, de sorte qu’un coefficient bêta de 1,10 indique que le fonds a affiché un rendement supérieur de 10 % à celui de son indice de référence sur des marchés haussiers et un rendement inférieur de 10 % sur des marchés baissiers, en supposant que tous les autres facteurs demeurent constants.

À l’inverse, un bêta de 0,85 indique que le rendement excédentaire du fonds devrait être de 15 % inférieur au rendement excédentaire du marché en période de hausse des marchés et de 15 % supérieur en période de baisse des marchés.

Le bêta peut être un outil utile lorsqu’au moins une partie de l’historique de rendement d’un fonds peut être expliquée par le marché dans son ensemble. Le bêta est particulièrement utile lorsqu’il est utilisé pour évaluer le risque d’un portefeuille de fonds communs de placement.

Il est important de noter qu’un faible bêta pour un fonds ne signifie pas nécessairement que le fonds a une faible volatilité. Un bêta faible signifie uniquement que le risque lié au marché du fonds est faible. (L’écart-type est une mesure de la volatilité absolue d’un fonds.)

C

Corrélation : La corrélation est une statistique qui mesure l’évolution de deux variables entre-elles.

Coupon : Un minicertificat détachable qui est attaché à un certificat d’obligation et qui est détaché et présenté aux fins de paiement lorsque les intérêts sont exigibles.

Courbe de rendement : Un graphique illustrant la variation du rendement des titres de créance (obligations) en fonction de leur durée résiduelle jusqu’à l’échéance.

Courbe de rendement inversée : Désigne les situations où les rendements des obligations à court terme sont supérieurs à ceux des obligations à long terme.

Cours acheteur : Le cours le plus élevé qu’un acheteur est prêt à payer pour un titre donné à un moment donné.

Le certificat donne droit au porteur à un paiement d’intérêt à une date déterminée. Il s’agit habituellement du paiement d’intérêt semestriel sur la valeur nominale du certificat d’obligation. Par exemple, une obligation assortie d’un coupon de 10 % paiera 10 $ par tranche de 100 $ de sa valeur nominale par année, habituellement en versements semestriels. Les coupons peuvent être vendus individuellement, séparément du capital de l’obligation.

Cours vendeur : Le cours auquel un titre est proposé à la vente sur un marché boursier. Aussi appelé cours de vente ou prix offert.

Couverture : Une stratégie de placement visant à réduire le risque de perte découlant des fluctuations du cours des titres. Les investisseurs tentent souvent de se protéger contre l’inflation en achetant des actifs comme l’or ou l’immobilier qui augmenteront plus rapidement que l’inflation. Les gestionnaires de fonds communs de placement et de caisses de retraite couvrent souvent leur exposition au risque de change ou au risque de taux d’intérêt en achetant ou en vendant des contrats à terme ou des contrats d’options.

Croissance : Le style de placement axé sur la croissance vise à repérer des sociétés susceptibles de croître à des taux supérieurs à la moyenne par rapport à leur secteur ou à l’indice global.

D

Décaissement : La phase du parcours financier d’un investisseur (habituellement à la retraite) où il puise maintenant dans ses actifs pour maintenir son style de vie et ses objectifs de placement axés sur la génération de revenu et l’atténuation des risques de perte.

Diminutions (ou diminutions sur le marché) : Une diminution est une baisse d’un pic à un creux du cours d’une période donnée pour un placement, un compte de négociation ou un fonds. Une diminution est généralement exprimée en pourcentage entre le pic et le creux suivant.

Distribution : Une distribution est un paiement provenant d’un compte de placement, comme un régime de retraite ou un compte de retraite individuel. Les distributions peuvent être effectuées en une seule fois (montant forfaitaire) ou réparties dans le temps (périodiquement). De nombreuses règles s’appliquent à l’égard du moment où vous pouvez (ou devez) accepter une distribution, au montant de la distribution et à l’imposition d’une distribution. Les OPC doivent transférer tout revenu de placement, y compris les gains en capital, les intérêts et le revenu de dividendes, à leurs épargnants.Les OPC doivent transférer tout revenu de placement, y compris les gains en capital, les intérêts et le revenu de dividendes, aux investisseurs. Si le placement est détenu dans un compte imposable, ces distributions sont soumises à l’impôt au moment où elles sont versées.

Dividende : Les taux de croissance des dividendes par action annualisés sur un an et trois ans. L’augmentation des dividendes indique habituellement que la direction prévoit que la société à générera des bénéfices. La croissance des dividendes, surtout celle qui est stable d’une année à l’autre, est un indicateur positif pour ceux qui investissent en vue d’obtenir un revenu.

Duration : La duration est une mesure de la sensibilité d’une obligation aux taux d’intérêt. Comme l’échéance d’une obligation, la duration d’une obligation est exprimée en années. Toutefois, contrairement à l’échéance qui correspond à la durée jusqu’à ce que les paiements d’intérêt d’une obligation cessent et que son capital soit remboursé, la duration comprend également le rendement, le coupon, l’échéance et les options de remboursement anticipé de l’obligation.

On pourrait considérer la duration comme le nombre d’années nécessaires pour recouvrer le coût réel d’une obligation. La duration d’une obligation portant intérêt sera toujours plus courte que son échéance, car les paiements vous permettent de récupérer une partie du coût de l’obligation avant son échéance. Plus le rendement de l’obligation est élevé, plus la duration est courte, ce qui est logique, car les versements individuels sont plus élevés et l’investisseur récupère plus rapidement le coût initial de l’obligation.

La duration peut aider les investisseurs à prévoir et à comprendre les fluctuations de prix qui sont attribuables aux fluctuations des taux d’intérêt. (Le cours des obligations a une relation inverse avec les taux d’intérêt.) En fait, la duration d’une obligation permet d’estimer l’incidence des fluctuations des taux d’intérêt sur le prix de l’obligation. Plus la duration d’un fonds est longue, plus le fonds est sensible aux fluctuations des taux d’intérêt. Autrement dit, si les taux augmentent de 1 point de pourcentage, le prix d’une obligation d’une duration de 5 ans diminuera d’environ 5 %, tandis que celui d’une obligation d’une duration de 10 ans diminuera d’environ 10 %

E

Écart acheteur-vendeur : Le cours acheteur est le cours qu’une personne est disposée à payer pour un titre à un moment précis, tandis que le cours vendeur est le cours auquel une personne est disposée à vendre. La différence entre les deux cours est l’écart acheteur-vendeur.

Écart-type : L’écart-type mesure la dispersion autour d’une moyenne. Pour un fonds commun de placement, il s’agit de la variabilité du rendement. Les investisseurs peuvent utiliser l’écart-type pour prédire la volatilité d’un fonds. Un écart-type plus élevé suppose une fourchette de rendement plus large et une plus grande volatilité.

Si le profil de rendement d’un fonds suit une distribution normale, les rendements se situeront à l’intérieur d’un écart-type par rapport à la moyenne d’environ 68 % du temps et de deux écarts-types environ 95 % du temps. Par exemple, supposons que le rendement annuel moyen d’un fonds est de 10 % et que son écart-type est de 2 %. Dans 100 échantillons, son rendement devrait se situer entre 9 et 11 % 68 fois et entre 8 et 12 % environ 95 fois. L’écart-type est plus complexe à calculer pour un portefeuille, car il ne s’agit pas d’une simple moyenne. Il doit tenir compte de la corrélation entre le rendement de chaque placement.

Effet de levier : Chercher à réaliser un profit sur un placement en utilisant des fonds empruntés, des comptes sur marge ou en achetant des titres au moyen de droits, de bons de souscription ou d’options.

F

Facteurs de style pour l’investissement : Le placement par facteur de style consiste à restreindre l’univers de placement au moyen de critères propres au facteur de style recherché par l’investisseur. Certains des facteurs de style les plus courants comprennent la croissance, la qualité et la valeur, mais il y en a bien d’autres. Nous présentons ci-dessous certains critères pour chaque facteur de style.

Fiducie de placement à participation unitaire : Une structure utilisée par certains FNB. Une différence importante entre cet format et celui des fonds à capital variable réside dans le fait que ce dernier permet aux FNB de réinvestir les dividendes immédiatement, alors que le premier ne le permet pas. Cela pourrait faire en sorte que les FNB qui utilisent la structure de fiducie d’investissement à participation unitaire aient un léger effet de trésorerie négatif sur leur rendement.

FNB (Fonds négociés en bourse) : Les FNB (ou les fonds négociés en bourse) sont des instruments de placement hybrides qui peuvent offrir une exposition relativement peu coûteuse et avantageuse sur le plan fiscal à diverses catégories d’actifs et stratégies de placement. Comme les organismes de placement collectif traditionnels, la plupart des FNB investissent dans un portefeuille diversifié d’actions et d’obligations. Contrairement aux OPC traditionnels, les FNB sont négociés en bourse.

La plupart des FNB sont gérés de manière passive, ce qui signifie qu’ils suivent un indice. Cela dit, une minorité croissante d’entre eux sont gérés activement. Qu’ils reproduisent un indice ou qu’ils mettent en œuvre une stratégie active, les FNB ont tendance à avoir des frais annuels moins élevés que les OPC. Cela dit, comme ils se négocient comme des actions, les investisseurs devraient comptabiliser les coûts de transaction (commissions, les écarts acheteur-vendeur, etc.).

Les FNB sont souvent louangés pour leur efficacité fiscale par rapport aux OPC traditionnels. Les FNB sont souvent plus efficaces sur ce plan pour deux raisons principales. Premièrement, la plupart des FNB sont des fonds indiciels. Les fonds indiciels, surtout les fonds indiciels à forte capitalisation ou les fonds indiciels du marché total qui sont pondérés en fonction de la capitalisation boursière, ont un taux de rotation relativement faible. Un faible taux de rotation signifie moins d’occasions de réaliser des gains lorsque des titres sont vendus du portefeuille. La structure des FNB est le deuxième facteur le plus important d’efficience fiscale. Les actions des FNB sont créées et supprimées au moyen d’opérations en nature entre les promoteurs des FNB et un teneur de marché spécialisé connu sous le nom de participant autorisé. Ainsi, les FNB ont tendance à ne pas vendre directement des positions de leur portefeuille pour répondre aux demandes de rachat, ce qui protège les investisseurs contre les distributions de gains en capital imposables.

Les investisseurs doivent toutefois savoir que l’efficience fiscale ne signifie pas l’exonération d’impôt. Du point de vue fiscal, le principal avantage des FNB est qu’ils peuvent permettre aux investisseurs de reporter la réalisation de l’impôt sur les gains en capital. Les personnes investissant dans des FNB paieront tout de même de l’impôt sur les distributions régulières de revenu, et elles paieront également de l’impôt sur les gains en capital lorsqu’ils vendent un FNB à un prix supérieur à celui qu’ils ont payé. De plus, certains FNB distribueront des gains en capital, bien qu’ils aient tendance à être moins fréquents et de moindre importance que ceux générés par leurs homologues des OPC.

Fonds à capital fixe : Un fonds à capital fixe est une structure de placement (et non une catégorie d’actifs) organisée en vertu des règlements de la Investment Company Act of 1940. On le confond souvent avec un OPC à capital variable traditionnel qui est fermé aux nouveaux investisseurs, mais ce n’est pas le cas. Un fonds à capital fixe est un type de société d’investissement dont les actions sont négociées sur le marché libre, comme une action ou un FNB. Comme un OPC traditionnel, un fonds à capital fixe investit dans un portefeuille de titres et est habituellement géré par une société de gestion de placements.

Fonds à capital variable : Un OPC à capital variable émet et rachète continuellement des parts, de sorte que le nombre de parts en circulation varie de jour en jour. La valeur des actions ou des parts varie en fonction de la valeur sous-jacente des titres de l’OPC, mais chaque action ou part ne représente qu’une partie du portefeuille sous-jacent.

Fonds de fonds : Fonds qui se spécialise dans l’achat d’actions d’autres OPC plutôt que de titres individuels. Bien souvent, il n’est pas possible de déterminer qu’il s’agit d’un fonds de fonds par le nom d’un fonds uniquement. Il faut aussi prendre connaissance du prospectus (c.-à-d., la charte du fonds).

Frais de gestion : Dans le prospectus d’un fonds, cela désigne les frais de gestion et d’administration indiqués à la rubrique « Frais de gestion ». Les frais réels représentent le plus souvent les coûts payés par les actionnaires pour des services de gestion et d’administration au cours de l’exercice précédent du fonds.

Si le niveau des frais a changé depuis la fin du dernier exercice, les frais réels seront le plus souvent présentés comme un nouveau calcul fondé sur l’actif net mensuel moyen de l’exercice précédent en utilisant les nouvelles charges courantes.

Bien que les frais de gestion de type contractuel soient indiqués dans le prospectus d’un fonds, il s’agit de montants maximaux et les fonds peuvent renoncer à une partie, voire à la totalité, de ces frais. Les frais réels représentent donc une meilleure approximation des coûts réels pour les actionnaires.

G

Gestion active : Si un fonds est géré activement, cela signifie que le gestionnaire du fonds choisit des placements pour le portefeuille du fonds qui, selon lui, offriront un meilleur rendement ou présenteront moins de risques que d’autres placements.

I

Indice de déviation : L’indice de déviation permet d’évaluer dans quelle mesure un fonds suit un indice de référence en comparant son rendement à celui de l’indice de référence. Les stratégies passives, qui visent à reproduire le rendement d’un indice de référence, utilisent souvent des indices de déviation pour mesurer leur succès. Un indice de déviation faible signifie que le rendement d’un fonds passif suit de près celui de l’indice de référence.

Indice de référence : Un indice de référence est une mesure de rendement servant à évaluer le rendement de votre fonds. Un indice de référence peut être le rendement moyen de fonds semblables au vôtre ou un indice général d’une catégorie de placements dans lequel votre fonds choisit habituellement ses titres.

O

Obligation : Fondamentalement, les obligations sont des prêts. Lorsque vous achetez une obligation, vous faite un prêt à une institution. Votre prêt dure un temps donné – jusqu’à la date à laquelle l’obligation arrive à échéance – et vous recevez un versement de dividendes donné chaque mois (communément appelé coupon) à titre d’intérêt sur le prêt.

Tant et aussi longtemps que l’institution ne fera pas faillite, elle remboursera aussi le capital de l’obligation, mais pas plus que le capital.

Il existe deux types d’obligations de base : les obligations d’État et les obligations de sociétés. Les obligations du gouvernement américain (aussi appelées bons du Trésor) sont émises et garanties par le gouvernement des États-Unis. Elles offrent habituellement un rendement bas, assorti d’un faible risque. Les obligations de sociétés sont émises par des sociétés et comportent un degré de risque plus élevé (en cas de défaillance de la société) ainsi qu’un rendement plus élevé.

Deux facteurs régissent le rendement des obligations et des fonds d’obligations : la sensibilité aux taux d’intérêt et le risque de crédit.

Option : Il s’agit du droit, mais non de l’obligation, d’acheter ou de vendre une quantité déterminée de titres, à un prix déterminé et dans un délai déterminé. Une option représente un droit acquis par l’acheteur. Une option de vente confère au porteur le droit de vendre le titre. Une option d’achat confère le droit d’acheter le titre.

Option d’achat : Un contrat d’option qui donne au propriétaire d’un titre le droit d’acheter un nombre donné d’actions à un prix donné, dans un délai déterminé. Les acheteurs utilisent des options d’achat lorsqu’ils pensent que la valeur d’une action augmentera.

Option d’achat couverte : Une option d’achat couverte désigne une opération financière dans le cadre de laquelle l’investisseur qui vend des options d’achat détient un montant équivalent du titre sous-jacent. Pour ce faire, un investisseur détenant une position acheteur sur un actif vend des options d’achat sur ce même actif afin de générer un flux de revenu.

Option de gré à gré : L’expression désigne les opérations effectuées de gré à gré sur des titres non cotés, ou les opérations sur des titres non inscrits à la cote d’une bourse reconnue.

Option de vente : Contrat qui confère à son porteur le droit, mais non l’obligation, de vendre un nombre déterminé d’actions à un prix déterminé avant une certaine date. L’achat d’une option de vente procure une protection contre la baisse puisque sa valeur augmente lorsque le cours du titre sous-jacent diminue.

Option de vente de protection : Une option de vente de protection est une stratégie de gestion des risques qui fait appel à des contrats d’options que les investisseurs utilisent pour limiter la perte d’une action ou d’un autre actif si et lorsque son cours baisse.

Ordre à cours limité : Un ordre d’achat ou de vente d’un titre à un prix déterminé ou meilleur. Il s’agit du prix maximal auquel un client est prêt à acheter un titre et du prix minimal qu’un client est prêt à accepter comme vendeur.

Ordre au marché : Ordre d’achat ou de vente d’un titre immédiatement, au meilleur prix disponible.

Organisme de placement collectif (OPC) : Lorsque vous investissez dans un organisme de placement collectif (OPC), votre argent est mis en commun avec celui d’autres investisseurs, puis il est géré par un groupe de professionnels qui tentent de gagner un rendement en choisissant des actions pour le fonds commun.

L’un de leurs principaux avantages est qu’ils peuvent être moins volatils. Les statistiques indiquent qu’un portefeuille sera moins volatil que ses composantes individuelles. Après tout, le cours d’une action peut atteindre zéro, et c’est parfois le cas, mais si un OPC détenait 50 actions, il serait très peu probable que ces 50 actions perdent toute valeur.

Le revers de cette volatilité réduite est que les rendements des fonds peuvent être faibles par rapport à ceux des actions individuelles. En matière d’investissement, le risque et le rendement sont étroitement liés – réduisez l’un et l’autre diminuera probablement. Les investisseurs dans des OPC doivent également tenir compte des frais. Les professionnels qui gèrent des OPC ne le font pas gratuitement. Ils imposent des frais, et ces frais réduisent les rendements.

P

Point de base : Un point de base correspond à un centième de point de pourcentage. Autrement dit, 0,01 % représente 1 point de base. Cent points de base représentent 1 %. Les points de base permettent d’expliquer facilement de faibles variations en pourcentage. Par exemple, si la Réserve fédérale réduisait les taux d’intérêt d’un quart de point de pourcentage, cela pourrait être exprimé par 25 points de base.

Pourcentage de rendement du dividende : Les dividendes par action de la société au cours de la dernière période d’un an en pourcentage du cours actuel de l’action.

Prime d’option : Une prime d’option est le prix courant du marché d’un contrat d’option.

Prime de risque de volatilité implicite : La prime de risque de volatilité implicite représente la rémunération reçue par les investisseurs pour leur protection contre la volatilité imprévue du marché.

Prime par rapport à la valeur liquidative : Contrairement aux OPC à capital variable ordinaires, qui sont achetés et vendus directement auprès de la société de placement à la valeur liquidative de leurs titres en portefeuille, les FNB et les fonds à capital fixe se négocient à des prix déterminés par l’offre et la demande sur le marché. Un fonds dont les titres se négocient à un cours supérieur à sa valeur liquidative se négocie à prime par rapport à sa valeur liquidative.

Q

Qualité : Le style de placement axé sur la qualité vise à repérer des sociétés qui présentent des caractéristiques pouvant inclure : un avantage concurrentiel solide ou croissant dans leur secteur d’activité choisi, la possibilité de bénéficier de facteurs favorables à la croissance à long terme, une équipe de direction solide, un faible niveau d’endettement et des rendements élevés sur les placements.

R

Ratio cours/bénéfice : Le ratio cours/bénéfice est une mesure d’évaluation qui permet d’évaluer combien les investisseurs sont prêts à payer pour un dollar du bénéfice d’une société. Il est calculé en divisant le cours d’une action par le bénéfice par action tiré des activités poursuivies des 12 derniers mois de la société.

Un ratio cours/bénéfice élevé indique habituellement que le marché paiera davantage pour obtenir les bénéfices de la société parce qu’il croit en la capacité de celle-ci d’augmenter ses bénéfices. Les sociétés des secteurs qui jouissent d’une forte popularité ont tendance à avoir des ratios cours-bénéfice élevés, ce qui témoigne de leur orientation vers la croissance. (Les ratios cours/bénéfices peuvent aussi être artificiellement gonflés si une société affiche de très faibles bénéfices, et donc un très petit chiffre dans le dénominateur de cette équation.)

Un faible ratio cours/bénéfice indique que le marché n’est pas tout à fait certain que les bénéfices de la société augmenteront; toutefois, un gestionnaire de fonds ou une personne qui a une approche axée sur la valeur peut croire que ces actions ont un potentiel de plus-value négligé ou sous-évalué. Les secteurs plus stables, comme les services publics et l’exploitation minière, ont tendance à avoir de faibles ratios cours-bénéfice, ce qui reflète une orientation axée sur la valeur.

Au niveau du portefeuille du fonds, le ratio cours/bénéfice peut servir à évaluer la stratégie de placement du fonds dans le contexte actuel du marché et à déterminer si elle est axée sur la valeur ou la croissance.

Le ratio cours/bénéfice d’un fonds correspond à la moyenne pondérée des ratios cours/bénéfice des actions du portefeuille d’un fonds. En calculant la moyenne, Morningstar pondère chaque position du portefeuille en fonction du pourcentage d’actifs qu’elle représente, de sorte que les positions plus importantes ont proportionnellement une plus grande influence sur le ratio cours/bénéfice final du fonds.

Ratio cours/bénéfice prévu : Le cours actuel d’une action divisé par l’estimation moyenne du résultat par action pour le prochain exercice. Ce ratio peut vous donner une idée du prix relatif d’un titre par rapport à la moyenne du secteur, à l’ensemble du marché ou même au niveau historique de l’entreprise.

Ratio cours/flux de trésorerie : Le ratio cours/flux de trésorerie représente le montant qu’un investisseur est prêt à payer pour un dollar généré par les activités d’une société donnée. Le ratio cours/flux de trésorerie indique la capacité d’une entreprise à générer des liquidités et sert d’indicateur de liquidité et de solvabilité. Comme les conventions comptables diffèrent d’un pays à l’autre, les résultats présentés (et les ratios cours/bénéfice) peuvent ne pas être comparables d’un pays à l’autre. Le ratio cours/flux de trésorerie vise à fournir une mesure internationale standard du cours de l’action d’une entreprise par rapport à son rendement financier.

Ratio cours/valeur comptable : Le ratio cours/valeur comptable d’un fonds correspond à la moyenne pondérée des ratios cours/valeur comptable de toutes les actions du portefeuille d’un fonds. La valeur comptable correspond au total de l’actif d’une société, moins le total du passif (parfois appelé valeur comptable). La valeur comptable d’une société est calculée en divisant le cours de ses actions en circulation par sa valeur comptable, puis en tenant compte du nombre d’actions en circulation (les actions dont la valeur comptable est négative sont exclues de ce calcul).

Dans le calcul du ratio cours/valeur comptable moyen d’un fonds, Morningstar pondère chaque position du portefeuille en fonction du pourcentage d’actifs qu’elle représente, de sorte que les positions plus importantes ont proportionnellement une plus grande influence sur le ratio cours/valeur comptable final.

Le ratio cours/valeur comptable peut donner aux investisseurs une idée approximative du prix qu’ils paient pour les actifs d’une société, en fonction des évaluations historiques plutôt qu’actuelles. Les évaluations historiques ne reflètent généralement pas la valeur marchande actuelle d’une société. Les investisseurs axés sur la valeur recherchent souvent des sociétés dont le ratio cours/valeur comptable est faible.

Ratio cours/ventes : Le cours actuel d’une action divisé par les ventes par action de la société des 12 derniers mois. Il s’agit de la moyenne pondérée des ratios cours/ventes des actions du portefeuille d’un fonds. Le ratio cours/ventes représente le montant qu’un investisseur est prêt à payer pour un dollar généré par les activités d’une société donnée.

Ratio de capture à la hausse/baisse : Le ratio de capture à la hausse/baisse vous indique si un fonds a dégagé un rendement supérieur à – ou a perdu moins que – un indice de référence global au cours des périodes de vigueur et de faiblesse du marché et, le cas échéant, dans quelle mesure.

Les ratios de capture à la hausse des fonds sont calculés en divisant le rendement mensuel du fonds au cours des mois où l’indice de référence a affiché un rendement positif par le rendement de l’indice de référence au cours du même mois. Les ratios de saisie à la baisse sont calculés en divisant le rendement mensuel du fonds pendant les périodes de rendement négatif de l’indice de référence par le rendement de l’indice de référence. Morningstar.com présente les ratios de capture à la hausse et à la baisse sur des périodes de un an, de trois ans, de cinq ans, de 10 ans et de 15 ans en calculant la moyenne géométrique des rendements du fonds et de l’indice pendant les mois à la hausse et à la baisse, respectivement, au cours de chaque période.

Un ratio de capture à la hausse supérieur à 100 indique qu’un fonds a généralement surperformé l’indice de référence pendant les périodes de rendement positif de l’indice de référence. Par ailleurs, un ratio de capture à la baisse inférieur à 100 indique qu’un fonds a perdu moins que son indice de référence au cours des périodes où l’indice de référence reculait. Toutefois, si un fonds génère des rendements positifs, alors que l’indice de référence diminue, le ratio de capture à la baisse du fonds sera négatif (c’est-à-dire qu’il a évolué dans le sens contraire de l’indice de référence). Les ratios de capture à la hausse/baisse de tous les fonds d’actions sont calculés par rapport à l’indice S&P 500, tandis que les ratios des fonds d’obligations et des fonds internationaux sont calculés par rapport à l’indice Barclays Capital U.S. Aggregate Bond et à l’indice MSCI EAEO, respectivement. Pour mettre les choses en contexte, nous présentons également les ratios moyens de capture à la hausse/baisse pour ces mêmes périodes.

Ratio de Sharpe : Le ratio de Sharpe est une façon de mesurer les rendements rajustés en fonction du risque d’un fonds. Il est calculé pour la période des trois dernières années en divisant les rendements annualisés d’un fonds excédant le taux sans risque par son écart-type annualisé. Plus le ratio de Sharpe est élevé, plus le rendement historique rajusté en fonction du risque du fonds est élevé.

Puisque le ratio de Sharpe utilise l’écart-type comme mesure du risque, il est plus approprié de l’utiliser pour analyser un seul fonds plutôt qu’un portefeuille. Vous pouvez utiliser les ratios de Sharpe pour comparer directement deux fonds semblables afin de voir lesquels ont offert un rendement par part de risque plus élevé ou pour voir comment le rendement rajusté en fonction du risque d’un fonds se compare au fonds moyen de la catégorie ou à son indice de référence.

Ratio de Sortino : Le ratio de Sortino, une variation du ratio de Sharpe, distingue la volatilité néfaste de la volatilité en général en utilisant une valeur pour l’écart négatif.

Le ratio de Sortino est le rendement excédentaire par rapport au taux sans risque divisé par la semi-variance à la baisse. Il mesure donc le retour à une volatilité « négative ». (La volatilité causée par des rendements négatifs est considérée comme mauvaise ou indésirable par un investisseur, tandis que la volatilité causée par des rendements positifs est bonne ou acceptable.) De cette façon, le ratio de Sortino peut aider un investisseur à évaluer le risque d’une meilleure façon qu’en examinant simplement les rendements excédentaires par rapport à la volatilité totale, car cette dernière mesure ne tient pas compte de la fréquence à laquelle les rendements sont positifs, par opposition à la fréquence à laquelle ils sont négatifs.

Ratio d’information : Le ratio d’information est une mesure de rendement ajustée en fonction du risque. Le ratio d’information est une version spéciale du ratio de Sharpe en ce que le taux de référence n’a pas à être le taux sans risque. La méthode Israelson est un ajustement du ratio d’information pour tenir compte de l’irrégularité de ce ratio lorsque les rendements excédentaires sont négatifs.

RCI : Ce chiffre représente le montant en pourcentage qu’une société gagne sur son capital investi au cours d’une année donnée (année 1, 2, etc.).

Le calcul correspond au résultat d’exploitation net après impôts divisé par le capital investi moyen. Le résultat obtenu est ensuite multiplié par 100. Le capital investi correspond à la somme du total des capitaux propres, de la dette et des obligations découlant de contrats de location-acquisition à long terme, ainsi que de la dette et des obligations découlant de contrats de location-acquisition à court terme. Le RCI indique le profit qu’une société tire de son capital de base. Plus la société est prospère, plus elle génère de profits en pourcentage de son capital investi. Le résultat net de la société figure à l’état des résultats. Les composantes du capital investi de la société figurent au bilan.

RCP (%) : Il s’agit du montant en pourcentage qu’une société gagne sur le total de ses capitaux propres au cours d’une année donnée (année 1, 2, etc.). Le calcul se fait en multipliant le rendement des actifs par le levier financier.

Le rendement des capitaux propres indique le profit qu’une société réalise sur l’argent que les actionnaires ont investi dans l’entreprise. La mission de toute entreprise est de dégager un rendement élevé des capitaux propres. Le résultat net de la société est présenté dans l’état des résultats annuels. La valeur nette de la société est tirée de son bilan annuel. Par exemple, une grande entreprise pharmaceutique a obtenu un rendement incroyable de 37 % sur ses capitaux propres. Pour chaque tranche de 1 $ investie par les actionnaires dans la société, celle-ci a généré 0,37 $ de profit.

RDA (%) : Ce taux représente le montant en pourcentage qu’une société gagne sur ses actifs au cours d’une année donnée (année 1, 2, etc.).

Rendement : Le rendement mesure le revenu que vous tirerez d’un titre. Il s’agit du dividende annuel par action divisé par le cours actuel de l’action et exprimé en pourcentage.

Rendement à l’échéance : Le terme utilisé pour décrire le taux de rendement qu’un investisseur recevra si un titre à long terme portant intérêt, comme une obligation, est détenu jusqu’à sa date d’échéance. Le rendement à l’échéance peut être déterminé à l’aide d’un tableau du rendement des obligations ou d’une calculatrice équipée pour le calcul des obligations. Il est supérieur au taux du coupon si l’obligation se vend à escompte et inférieur au taux du coupon si elle se vend à prime.

Rendement en dividendes (rendement sur 12 mois) : Le rendement sur 12 mois correspond à la somme du total des versements d’intérêts et de dividendes d’un fonds au cours des 12 derniers mois, divisée par le cours de clôture de l’action (valeur liquidative) du dernier mois, majoré des distributions de gain en capital versées au cours de la même période. Le rendement sur 12 mois illustre le rendement en dividendes (paiements d’intérêts et de dividendes) actuel de votre fonds.

Le calcul correspond au résultat net divisé par le total de l’actif moyen. Le résultat obtenu est ensuite multiplié par 100. Le rendement de l’actif indique le profit qu’une société réalise sur ses actifs. Plus l’entreprise est prospère, plus elle génère de profits en pourcentage de ses actifs. Le résultat net de la société est présenté dans l’état des résultats annuels. L’actif total de la société figure au bilan annuel. Par exemple, le rendement de l’actif d’une grande société de logiciels était supérieur à 20 %, ce qui représente une rentabilité incroyable. Pour chaque tranche de 1 $ d’actifs, la société a pu générer plus de 0,20 $ de profits.

Rendement fondé sur la valeur liquidative : Le rendement total d’un FNB, selon sa valeur liquidative au début et à la fin de la période de détention. Ce rendement peut être différent du rendement du marché du FNB. Le rendement du marché, et non le rendement selon la valeur liquidative, est le rendement réellement gagné par les investisseurs du FNB, sauf ceux qui détiennent des parts de lancement.

Résultat par action : Le résultat par action d’une société au cours d’une période donnée. Le résultat par action est un chiffre plutôt arbitraire en soi, car la société peut contrôler le nombre d’actions en circulation au moyen de fractionnements et de rachats. Cependant, comparer le résultat par action le plus récent d’une société à son résultat par action des exercices et des trimestres précédents (ajusté pour tenir compte de tout fractionnement) est l’une des façons les plus courantes de dire à quelle vitesse les bénéfices de la société augmentent.

Risque de baisse : Le risque de baisse est une estimation de la perte de valeur potentielle d’un titre si les conditions du marché entraînent une baisse du cours de ce titre.

Risque de liquidité : La capacité d’acheter ou de vendre des titres rapidement et facilement sans que cela ait une incidence importante sur le prix de l’actif. Les actions de premier ordre à fort volume comme celles des banques sont des titres très liquides. Les actions de petites sociétés à faible volume d’activité ne sont pas considérées comme liquides. Une liquidité élevée est considérée comme une caractéristique souhaitable pour un titre ou une marchandise.

La liquidité s’entend également de la capacité des investisseurs à convertir des titres en espèces. Les comptes de chèques bancaires, les comptes sur livrets, les certificats de placement et les bons du Trésor sont des exemples de comptes liquides.

S

Séquence des rendements : Le risque lié à la séquence des rendements est le risque que les baisses du marché au cours des premières années de la retraite, jumelées aux retraits continus, puissent réduire considérablement la longévité d’un portefeuille.

Stratégie de tunnel : Un tunnel est une stratégie d’options dans le cadre de laquelle un négociateur crée une position de tunnel en achetant l’action sous-jacente, une option de vente hors cours, tout en vendant simultanément une option d’achat hors cours sur l’action sous-jacente. L’option de vente protège le négociateur en cas de baisse du cours de l’action. La vente de l’option d’achat produit un revenu (qui devrait idéalement compenser le coût d’achat de l’option de vente) et permet au négociateur de tirer profit de l’augmentation de l’action jusqu’à concurrence du prix d’exercice de l’option d’achat.

T

Taux de coupon : Le taux d’intérêt annuel d’un titre de créance ou d’une obligation que l’émetteur promet de payer au porteur jusqu’à l’échéance.

Taux de rotation : Il s’agit de la fréquence à laquelle un gestionnaire de fonds vend tous les titres de l’OPC au cours d’une année donnée. Si un fonds affiche un taux de rotation de 100 %, cela signifie que le gestionnaire du fonds a, en théorie, vendu chaque position en actions une fois. En d’autres termes, il ou elle a cédé 100 % de ses positions en actions. En pratique, toutefois, ce n’est pas tout à fait exact. Le gestionnaire a peut-être conservé 50 % de toutes les positions au cours des cinq dernières années et a vendu les 50 % restants deux fois au cours de l’année. Il s’agit d’un taux de rotation de 100 % par calcul.

Taux d’intérêt nominal moyen pondéré : Ce chiffre est calculé en pondérant le coupon de chaque obligation par sa taille relative dans le portefeuille. Il indique si le fonds sous-jacent détient plus d’obligations à coupon élevé ou à coupon faible. Il peut être avantageux de détenir des obligations à coupon élevé, mais de nombreux fonds les achètent simplement pour tenter d’attirer les investisseurs avec un rendement élevé. Cette situation peut nuire aux investisseurs pour deux raisons. Premièrement, les obligations à coupon élevé comportent souvent un risque plus élevé que les obligations à coupon moins élevé. Deuxièmement, lorsque ces obligations ne comportent pas de risque supplémentaire, il s’agit d’anciennes émissions pour lesquelles le fonds a payé et, si le placement n’amortit pas le rendement supplémentaire, les investisseurs constateront probablement que leur capital s’effrite avec le temps.

V

Valeur : Le style de placement axé sur la valeur vise à repérer les sociétés dont les titres se négocient à escompte par rapport à leur valeur intrinsèque perçue par rapport à la moyenne du secteur ou de l’indice global.

Valeur liquidative : La valeur liquidative d’un fonds représente son prix par action. La valeur liquidative est calculée en divisant l’actif net total d’un fonds par le nombre d’actions en circulation. Les actions des fonds communs de placement à capital variable ordinaires sont achetées et vendues à la valeur liquidative, mais les actions des FNB (à l’exception des parts de lancement) sont achetées et vendues au cours du marché, qui peut différer de la valeur liquidative.

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* Une partie du contenu a été reproduite avec autorisation de Morningstar Inc.

Veuillez lire le prospectus avant d’investir. Des renseignements importants sur chaque organisme de placement collectif (un « OPC ») et chaque fonds négocié en bourse (un « FNB ») de Guardian Capital figurent dans leur prospectus respectif. Un placement dans un fonds commun de placement ou un FNB peut donner lieu à des commissions de courtage, à des commissions de suivi, à des frais de gestion et à d’autres frais. Un investisseur paiera habituellement des commissions de courtage à son courtier s’il achète ou vend des parts d’un FNB à la Bourse de Toronto (la « TSX »). Si les parts sont achetées ou vendues à la TSX, l’investisseur pourrait payer un montant supérieur à la valeur liquidative actuelle lors de l’achat des parts du FNB et recevoir un montant inférieur à la valeur liquidative actuelle lors de la vente. Les taux de rendement indiqués correspondent au rendement annuel composé historique total compte tenu des variations de la valeur des parts et du réinvestissement de toutes les distributions, mais sans tenir compte des frais d’acquisition, des frais de rachat, des frais de placement, des frais optionnels ou de l’impôt sur le revenu payable par un porteur de titres, qui auraient pour effet de réduire ce rendement. Les fonds communs de placement et les FNB ne sont pas garantis, leur valeur fluctue fréquemment et leur rendement passé n’est pas indicatif de leur rendement futur.

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